Dague aux écailles
De cette époque où le travail du bronze avait depuis peu laissé place à celui de l’acier, déjà la légende disait que de ces aciers aux écailles l’on faisait les meilleures lames.
La légende évoquait également le charme que suscité cet acier couvert de la peau d’un dragon que certains y voyaient.
Alors, de cette fascination que ce métal exerçait, le porteur de la lame se sentait
détenteur d’un éclat d’invisibilité.
La lame de 25cm est forgée dans une râpe dont l’épaisseur de départ affichait 10mm d’épaisseur.
Les 8cm de la garde en acier doux protègent la main.
La poignée de 12cm est constituée d’un bloc de vieux noyer débité en 3 tronçons et réunis par des intercalaires de cuir.
L’ensemble est collé et la soie se finissant en pointe est rentrée à force dans la partie finissante du dernier tronçon de noyer.
Vendue.